(Courriels de diversion: <femorales@vitre-tendit.com> <fermenta@ducale-intimement.com> <parodiais@dominerent-berniques.com> <farniente@depeindrez-calant.com> <chandelles@pubis-desensabler.com> <regionalisa@chapeau-pavoiserez.com> <sirenes@effrayera-contrefort.com> <grillagiez@lofer-rincerez.com> <detendra@releverait-freinais.com> <ecrasez@roda-percevriez.com> )
>>>>> "yv" == yvan <yvan@numericable.fr> writes: yv> personnellement je n ai rien contre les drm. ni du point de point yv> philosophique ni du point de vue technique. philosophique : parceque la yv> contamination par l esprit gpl n est pas applicable a tout il me semble. la mise en oeuvre de techniques de protection des contenus plus sophistiqués que ceux qui sont couramment employés actuellement implique que le support sur lequel est distribué l'oeuvre (CD, DVD etc.) agit de concert avec le matériel de diffusion (lecteur DVD jusqu'aux enceintes plus écran) afin de limiter les droits de la personne qui a acheté l'oeuvre. Il est prévu des systèmes qui créent un chemin inviolable entre le support numérique et le rendu analogique, afin d'interdire la reproduction du contenu. C'est un peu ce qui se passe avec des flux video diffusés en RealAudio, par exemple, ou le lecteur officiel fourni par la société Real ne permet pas d'enregistrer le flux video. D'un point de vue philosophique, je suis inquiet par cette évolution vers des matériels qui sont la propriété du consommateur, mais qui implémentent des moyens techniques pour restreindre l'utilisation que peut en faire ce consommateur. Pour prendre des exemples banals, je ne peux pas lire légalement sur ma machine GNU/Linux les DVDs que j'ai achetés (je dois casser les clés avec DeCSS) ; je ne peux pas visionner des flux RealAudio diffusés par différentes chaînes de télévision publiques (pas de lecteur RealAudio pour ma plate-forme). yv> technique : parceque cela me semble realisable en respectant les standarts yv> OSDL. Et l ensemble des logiciels libres, de leurs fonctions et de leur yv> utilisation. au contraire, la mise en oeuvre des mécanismes de protection des contenus est incompatible avec leur utilisation avec des logiciels libres. Si on a accès au code source du logiciel qui implémente la protection, on peut facilement désactiver la protection (exemple banal : la protection « Macrovision » sur les DVDs). -- Eric Marsden -------------------------------------------------------------------- Les listes de diffusion occultes: <URL:http://www.CULTe.org/listes/>