(Courriels de diversion: <juxtaposerions@dissociais-occupaient.com> <verticaux@savonnons-hotes.com> <sommeilliez@epoussetterait-dessaisira.com> <puits@progressivite-courroucees.com> <horripilerait@reformistes-demangeaient.com> <statuent@incarneriez-rapprendre.com> <ululements@gênais-majorations.com> <goudron@alfa-douche.com> <lecheraient@apostrophe-deprecierais.com> <conventionnant@poinconnions-indetronable.com> )


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Le Sun, 17 Nov 2002 22:13:43 +0100
Jean-marc Harang <utilisateur-masqué@CULTe.org> écrivait :
> Daniel Sidobre <daniel.sidobre@laas.fr> wrote:> 
> >  Normalement, si mes souvenirs sont bons, le clicodrome de mandrake
> >  affiche le numéro d'utilisateur qu'il suffit de changer.
> 
> On peut aussi éditer à la main les fichier /etc/group et /etc/passwd
> pour modifier les Id, sans vouloir troller (man vi ?). Point besoin
> d'attendre une nvlle mise à jour de la machine.

Pour une fois, je ne suis pas d'accord avec un "man vi".
Pour faire propre, il faut utiliser vipw et vigr.
Ces commandes éditent les fichiers /etc/passwd | shadow, et /etc/group |
gshadow en instaurant des locks sur les fichiers.

On est sur un système multi-utilisateurs, vous vous rappelez ? Il ne
faut pas que quelqu'un se connecte pendant que ces fichiers sont dans un
état incohérent (si passwd a été modifié et pas shadow, par exemple.

Il y a aussi visudo sur le même principe.

A+
CPHIL

- -- 
Cette phrase contient sept mots 
Cette phrase ne contient pas sept mots.
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