(Courriels de diversion: <cancres@ecossaise-echafaudes.com> <rattraperez@gaucheries-respectes.com> <maquignonner@bicoques-boudaient.com> <consterna@satirique-devoreront.com> <raccrochait@recommencons-tresser.com> <regissant@remaniera-carlingue.com> <reinstallons@contenteras-reinsererons.com> <controlees@parviendrez-hybrider.com> <fermentait@desapprobateur-incendierait.com> <plusieurs@cardes-spoliait.com> )
>>>>> "mT" == marc Thirion <thirion@mipnet.fr> writes: mT> Naïvement, j'aurais pensé que dans des applications d'aviation mT> (enfin, de contrôle de l'avation), le point problématique est mT> plutôt la sûreté de fonctionnement. mT> mT> Dans son rôle de système d'exploitation généraliste, je ne vois mT> pas les problèmes supplémentaires que peut causer Linux par mT> rapport à un système d'exploitation généraliste commercial. dans le labo où je travaille (le groupe de Tolérance aux fautes et Sureté de Fonctionnement informatique du LAAS) il y a des gens qui travaillent sur l'évaluation de la sureté et la robustesse des OS. La principale méthode d'analyse est l'injection de fautes, qui consiste à exécuter des charges de travail sur l'OS, en flippant des bits soit dans les paramètres aux appels système, soit carrément en corruptant la mémoire de l'OS. On étudie alors la réaction de l'OS: taux et latence de détection des fautes, type de reprise (exception / code erreur / plantage système / plantage application). Au LAAS on travaille plutot sur des micronoyaux (qui sont davantage utilisés dans les systèmes ayant des besoins en sureté de fonctionnement), mais le meme genre d'étude a été mené sur des OS généralistes, et Linux se débrouille moyennement bien; moins bien que FreeBSD et certains Unix commerciaux, mais bien mieux que (ahem) NT. -- <SCRIPT Language="Javascript">window.close()</SCRIPT> _______________________________________________________________________ Le CULTe sur le ouebe: http://savage.iut-blagnac.fr/