(Courriels de diversion: <agglomererions@aveu-avalerent.com> <tolees@monologua-naufragee.com> <laisserait@voltages-rejouisse.com> <vende@bafouillerez-eraflures.com> <stoppeur@evacuees-visseraient.com> <jaloux@intermediaires-volontaire.com> <mousseline@troquee-fixais.com> <baptisaient@latinistes-tonifiez.com> <diffamez@retrancherons-sociabilite.com> <apitoya@emulsionner-hilarants.com> )


Xavier:
> Moi, j'aime bien leur rigueur : les dependances des paquetages sont bien
> etudiees, je suis passe de la debian 1.3 (avec libc 5) a la debian 2.0
> (avec libc 6) puis 2.1 sans probleme. Et dselect, leur outil de gestion
> des paquetages, est hermetique, c'est vrai, mais il est en mode texte, et
> ca, c'est plus rapide et plus adapte en reseau. 

  Je pense que ce n'est pas tellement « rapide » ni que le mode texte soit «
plus adapté au réseau ». En fait, le mode texte est un peu incontournable lors
de l'installation, puisque le passage à X nécessite l'installation d'une
pléthore de bibliothèques, et donc une flopée de paquetages. 

  De plus, l'habitude d'utiliser dselect permet de faire facilement une
upgrade, et puisque l'on est sous une console, on peut très bien faire
l'upgrade d'un serveur X ( qui nécessite de quitter l'ancien ). De plus, la
gestion de paquetage inclut la notion de « suggestion ». En effet, ça permet
d'installer les paquetages voisins, de manière relativement simple.

  Par contre, l'ergonomie de l'outil est à revoir. C'est vraiment rapide pour
un skilled user, mais pour le débutant, c'est un rien rebutant. Bref, un
obstacle à l'apprentissage initial. Dommage.

  Concernant la facilité d'installation de la slink, je pense que le reste
est assez similaire aux autres distributions. Peut être est-ce que la séquence
base system -> reboot -> reste du système n'est pas intuitive. Encore une
fois, les docs sont tes amies.

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  Y. 

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