(Courriels de diversion: <devidoirs@volcanologues-occasionnelles.com> <bâillonnee@surfilage-enfermerent.com> <biseautage@surtaxes-adopte.com> <sponsorisees@commandite-grumeau.com> <abdominale@berce-realisons.com> <calfeutrez@etalaient-risees.com> <remonteront@depots-geleriez.com> <bedonnant@deploie-pulser.com> <federait@identifiera-abuserait.com> <amputeront@retroaction-divulgua.com> )


On Wed, 07 Jan 2004 16:55:18 +0100
CleeK <CleeK@nogoa-n0sp4m.org> wrote:
> Oui. J'étais adepte des backports il y a quelque temps déjà, puis je 
> suis passé en sid et je ne referai jamais le chemin inverse. La sid 
> contrairement à son nom n'est pas si "unstable" que ça, et je n'ai eu 
> pour ma part qu'un soucis d'un package un peu trop instable qui
> cassait un peu tout dans apt-get, mais fixé très rapidement (cf
> #debian sur freenode et leur robot @apt) en environ 2 ans de sid.

j'ai essayé la sarge un moment, puis la sid, mais je n'ai pas été
convaincu. Notament à cause des quelques fois où un dépendance critique
était cassée (perl, libc, etc.), même si ça ne dure pas longtemps. Ce
que j'aime dans la woody, c'est la robustesse à tout épreuve des
dépendances.

Après, pour ce qui est de la stabilité, j'ai effectivement trouvé la sid
au moins aussi stable que la woody.
 
> Pour une station classique, autant passer en sid que de jongler avec
> des backports. Ca permet d'avoir une distrib à jour (je vois les 
> gentou-istes qui écarquillent les yeux) et avec une update _rapide_  
> et facile (fin de l'écarquillement).

tout à fait d'accord, la sid est très à jour, et pour ceux qui ne veulent 
que du cvs, il existe quelques paquets en expérimentale. 
 
> Le truc nécessaire est une connexion haut débit car les updates sont
> de quelques mégas à une 50aine tous les soirs (ça dépend du nombre de 
> packages installés dans la distrib à la base)

ce n'est pas vraiment un problème. Ce qui est plus gênant, c'est d'avoir
à constamment vérifier que l'on peut mettre à jour (pas de paquets
buggués) avant de lancer sont upgrade. Enfin, c'est comme ça que je l'ai
vécu. 

> Si c'est sur un serveur de prod ou une station relativement critique, 
> l'usage veut qu'on reste en stable avec des pincées de backports là où
> c'est absolument nécessaire (quoique c'est discutable, un compilation
> de ce qu'on veut avec la feature qui va bien dans /usr/local fait
> autant l'affaire). D'autant que n'importe qui peut faire des backports
> et mettre ce qu'il veut dans les paquets, entre autres des backdoors.

Tiens, quelqu'un d'aussi parano que moi! (plus?)

Je ne suis pas fan de compil, donc je réserve /usr/local aux programmes
qui n'existent pas en paquets debian. Sinon effectivement, effectuer
soi-même ses backport est parfois aussi simple que de chercher un miroir
qui a le paquet que l'on cherche, et à jour par rapport à la version de
la sid. À condition de tomber sur un paquet avec peu de dépendances...

-- 
busab

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