(Courriels de diversion: <detachions@depiler-traîneraient.com> <serviabilite@scander-redirigees.com> <rapetisses@acquis-empêcherai.com> <proscrivant@triomphalement-entrechoquent.com> <eventrer@trouvaient-emettais.com> <quitterons@conjecturant-grutier.com> <echoues@regrettaient-pendeloques.com> <attribuerent@teleferiques-lorsque.com> <memorial@fomentation-vaincriez.com> <ânonnerait@tirebouchonner-sous-traitants.com> )


> Bref, je comprends mieux certains business models, mais je reste
> convaincu que parfois le logiciel non libre est un mal nécessaire !

Tu n'as pas tort, avec la logique actuelle, c'est vrai. Mais dans une
logique où la plupart des logiciels sont libres, il paraîtra logique
de rémunérer les auteurs. Je veux dire aussi que certains vivent des
revenus de leurs shareware. Ce n'est pas du libre mais la copie est
autorisée et largement recommandée. Pourtant, de nombreux utilisateurs
comprennent que s'ils utilisent le logiciel, il est mieux de le payer.
Il ne faut donc pas désespérer que ce soit le cas aussi pour ton
logiciel libre.

Je pense aussi au cas des développeurs du noyau. Beaucoup sont payés
pour bosser dessus. Souvent, ils développent un bout qui leur est
nécessaire pour le développement professionnel et le résultat est
disponible pour la communauté. Le fait est que maintenant, ce système
fonctionne parce que Linux est déjà là. Je me demande comment on
pourrait recréer ce fonctionnement. Il faudrait qu'un ensemble de
développeurs bossant dans des boîtes différentes constatent et fasse
constater un manque logiciel dans un domaine particulier et qu'on
puisse gérer une sorte de projet mutualisé ou chaque société donnerait
un développeur qui travaillerait sur ce truc-là propre. C'est un peu
le cas finalement pour le développement des standards ou je me trompe
? Dans le cas des standards, c'est de la documentation qui est
produite mais les spécialistes qui bossent dessus sont originaires de
sociétés privées différentes non ?

-- 
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« Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est con, on-est-con ! »
-- Georges Brassens

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