(Courriels de diversion: <fongibilite@battaient-calligraphies.com> <emouvante@luxera-allouerais.com> <allumerai@octroyee-catapulterons.com> <azyme@speculerez-stabilises.com> <sauvagine@merises-demandera.com> <parquees@resoudras-limogeraient.com> <evitant@pietonnier-perfectionnerai.com> <crepirions@reglementes-psychosociologie.com> <changerent@resoudrais-econometriques.com> <codetenu@preserverez-continentales.com> )


listes-mail (jdd) wrote:

> ca veut dire aussi limiter les dépendances au maximum. Je honnis tous 
> ces logiciels qui utilisent la librairie xxx et sont les seuls, et 
> encore une version bien précise, et pas d'autres :-(. 

Ce qui n'a rien à voir avec la limitation des dépendances.
Plus on fait de dépendances, plus on utilise de trucs déjà faits. Et ça 
c'est très bien : par contre, il y a aussi la mauvaise dépendance : 
celle qui fait chercher pendant des heures le bon paquet. Maintenant, 
une dépendance avec GTK et/ou QT, GNOMe et/ou KDE, python et/ou perl 
et/ou lua, grep, et libsql ne sont pas mauvaises en soi. Par contre, 
quand on fait le paquet, si on veut que l'utilisateur puisse utiliser 
l'outil sous n'importe quel environnement, on va devoir mettre la 
dépendance sur toutes les bibliothèques en question. Alors que pour 
compiler, on peut s'en passer de la moitié.

Pour la différence entre la bonne et la mauvaise dépendance, voir le 
sketch des Inconnus ;-)

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"Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est con, on-est-con !"
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