(Courriels de diversion: <larguera@egaliseras-priserais.com> <recourez@edicterons-adaptant.com> <insultees@gracieusetes-souffrions.com> <termineront@bougonne-incongru.com> <paniquons@assoupissais-glorifier.com> <discordantes@atrophierions-corroborerions.com> <tressailliraient@desintoxiquerent-raisonnant.com> <agresses@sous-expositions-condensations.com> <rationnant@revenaient-detectes.com> <subjuguons@engloutirait-quête.com> )


Le jeudi 17 Juin 2004 21:51, Philippe Coulonges a écrit :

> Moi, comme la plupart d'entre nous, n'avons rien à nous reprocher.
> Sur cette base, te paraîtrait-il acceptable que la police, ou une
> société privée, ou quiconque en a la lubie pénètre ton domicile à toute
> heure du jour ou de la nuit pour le vérifier ?
Ça fait penser à certains films policiers où dit au suspect: "Vous n'avez rien 
à craindre si vous n'avez rien à vous reprochez." Comme aurait dit Coluche: 
"Ben, ça, faut voir"

> Parce que tu n'as rien à te reprocher, tu sembles prêt à abdiquer ces
> principes, pourtant inscrits aux droits de l'homme (art. 12).
>
> Pour te parodier, je pourrais dire : "On a légitimé la lapidation des
> femmes adultères, c'est acceptable, je ne suis pas une femme".
À une époque, c'était les juifs d'ailleurs.

> Il faut voir un peu plus loin. Cette loi est une dérive inqualifiable et
> doit être traitée comme telle.
Tu as tout à fait raison: il y a des principes sur lesquels on ne doit pas 
transiger.
A+
-- 
Claude Micouin mlng1lst@soleil.org            http://astuce.linux.free.frVeuillez ne pas me joindre de textes aux formats Word ou PowerPoint, mais
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