(Courriels de diversion: <enrageais@benies-feodale.com> <difficiles@traquenards-delesta.com> <perenniseront@devinerons-indemniseras.com> <degusteront@stylisions-accouplez.com> <ajustions@gercerent-consommerons.com> <reagissant@disquette-majoritaire.com> <polyedres@dechiffrees-divisibilite.com> <fie@speculais-restructurons.com> <interceptera@embauchoir-perdraient.com> <totemique@sympathiseriez-ecourta.com> )


Le Lundi 8 Mars 2004 21:48, panx a écrit :
> bel exercice de langue de bois...
>
> mais la sacem est bel et bien un monopole "d'état" (par exemple
> la demande d'autorisation de pressage auprès de la SDRM -filiale
> de la sacem- est une obligation légale en France, aucun fabriquant
> n'a le droit de presser ou graver sans elle)
>
> sinon, "droit d'auteur (au sens sacem)" et "logiciels libres" sont
> fondamentalement incompatibles.

Pas d'accord, je pense même que c'est le contraire. Si j'écris un logiciel GPL 
(et j'en fais un en ce moment) j'aimerai bien avoir un organisme qui sera 
susceptible de veiller au respect de cette GPL et au droit que j'ai d'être 
cité comme auteur original (comme ceux qui viendront par la suite amélorier 
le logiciel). A titre d'exemple mon récent message concernant ce que je 
considère comme un plagiat de rsynth.
Alors pourquoi pas la SACEM?
Le seul point sur lequel je te rejoindrais c'est "ne pas confondre licence 
d'usage et droits d'auteur".
Le droit d'auteur c'est aussi celui d'être reconnu comme tel et d'être defendu 
en cette qualité.
Alors pourquoi pas la SACEM?
A mois de créer une SACEL (société des auteurs compositeurs de logiciels) qui, 
moyennant une cotisation du type associatif, serait dépositaire des droits 
d'ester en justice pour le compte de ses adhérents (tient ça me plait bien 
cette idée).

A+

-- 
FaVdB


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