(Courriels de diversion: <empresserais@fournie-outraient.com> <limerions@efforceraient-cosmos.com> <regionalisa@douillettes-intitule.com> <seminaires@trieriez-planifies.com> <revere@barriez-obliquees.com> <corsaient@equivaloir-interviendra.com> <chaleur@calfeutreriez-chine.com> <reductible@papillonnees-bourgeoisement.com> <huilerais@ponctua-bricoles.com> <veste@accompagneraient-etancherions.com> )


On Mon, 20 Oct 2003 21:42:25 +0200
"hector dupont" <hector.dupont@free.fr> wrote:
> Etant développeur, et désirant le rester, je ne vois pas trop comment me
> faire rémunérer
> 
> * faire un produit "classique" mais sur Linux (paiement d'une licence par le
> client, non livraison des sources (comme Oracle par ex)): ça revient à un
> modèle identique à ce que je pratique aujourd'hui (sauf que MS ne touche pas
> sa com sur Windows)
> 
> * faire un produit "open source" (?) (sources publiques) sur OS open source
> (linux)
> Dans ce cas, peut on faire payer le client ? la GPL le permet elle (je ne
> l'ai pas lue dans le détail, vous avez le droit de me dire de commencer par
> là !)

Il y a une lecture intéressante dans ce cas. Il s'agit d'un essais d'Eric Raymond dans lequel il tente d'étudier les différentes stratégies pour faire de l'argent et du logiciel libre. Il s'intitule "Noosphere" ou quelque chose dans ce goût là.

Ce qui est particulièrement intéressant, c'est que le discours n'est pas extrémiste de l'open-source. En particulier, il développe l'idée que pour vivre avec du logiciel, il ne faut pas tomber dans l'extrême du "tout-libre", que cela dépend du logiciel, du contexte concurrentiel mais aussi que cela peut varier au cours du temps. Par exemple, dans un domaine fortement concurrentiel, il est souvent judicieux de conserver un code fermé s'il contient des innovations majeures. Par contre, s'il s'agit d'un développement interne ou n'ayant aucun caractère innovant, il est plus intéressant d'ouvrir les sources puisque les concurrents participeront probablement à la fiabilisation de ce service.
L'exemple du logiciel changeant d'état au cours du temps concerne les logiciels de type jeux. Au début de la commercialisation, il est nécessaire vue les sommes investies de le conserver à source fermés pour rentrer rapidement dans ses fonds. Par contre, lorsque le jeux ne présente plus de réel intéret (il est dépassé) il devient intéressant d'ouvrir ses sources afin de diminuer les coûts de maintenance. 


Afin, tout ceci est du mauvais paraphrasage. Je vous conseille de vous procurer le texte original qui est vraiment intéressant (pour cela, google ou autre "est ton ami" (c)).
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Guilhem BONNEFILLE
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