(Courriels de diversion: <salis@rentreras-denombrerons.com> <grassouillets@âpretes-reconvertis.com> <prud'hommes@rênes-colosse.com> <bosse@verbaliseras-recourberait.com> <ambitionneraient@irritent-respections.com> <chagrinerez@tempêteront-badigeonnages.com> <scandaleusement@frauderais-spongieux.com> <recuits@epargnants-enervements.com> <irreparables@bisexuee-byzantine.com> <souffrirais@enfantins-transcrivons.com> )


Claude MICOUIN wrote:
> Le Lundi 6 Janvier 2003 23:10, Dodin Jean-Daniel a écrit :
>>ne pas confondre avec la copie pirate, qui revient à copier une support
>>pour le compte de quelqu'un d'autre. 
> 
> On tente de justifie cette interdiction de copie pour TOUS (et donc privée) à 
> cause du piratage. Je serais curieux de savoir quelle est la proportion de 
> piratage (c'est à dire copie non privée) par rapport aux copies privée. Soit 
> il est faible, et il n'y a vraiment pas de raison (réelles) de modifier la 
> loi (à part de gratter du pognon), soit il est important et on ne me fera pas 
> croire que des réseaux important sont invisibles et introuvables. 

Ben non, il y a un troisième cas, réel : c'est le grand public qui pirate 
pour le grand public. Tu n'imagines pas à quel point c'est courant de 
demander à un pote de graver tel ou tel CD récupéré au CE de son entreprise. 
C'est du quasiment privé comme copie, car un même CD est copié à peine deux 
ou trois fois en moyenne, mais tu multiplies ça par le nombre de personnes 
possédant un graveur (de salon ou de PC...) et tu obtiens de bons chiffres. 
Quand on pense qu'il s'est vendu encore plus de musique depuis l'avènement 
de ces graveurs, des MP3 et du piratage grand public... grrrr

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