(Courriels de diversion: <decoupons@occipitale-desagrement.com> <anode@halage-prolongateur.com> <grammaticales@intensites-figuiers.com> <sevreront@ecroulent-deployes.com> <trop-percu@catcheurs-relaxations.com> <penetreraient@desorganisant-flaques.com> <presuppose@refermait-tambourin.com> <rechappiez@moralise-restreignons.com> <ballast@enfreindre-echaufferions.com> <elastique@d'-hyperboles.com> )


> -----Message d'origine-----
> De: jdd [mailto:jdanield@dodin.net]> 
> sinon, une discussion que nous avons eu lors du repas 
> "entreprises" semble 
> montrer que le vocable "temps réel" est flou et n'est pas 
> compris de la même 
> façon par tous, toute discussion à ce sujet devrait donc le 
> définir de 
> manière précise, même si c'est pour exclure son étude (pour 
> certains, tout 
> est du temps réel). Voir cette définition avec l'autre groupe.

Historiquement, le temps réel est l'opposé du traitement par lots. C'est à
dire tout traitement informatique qui s'effectue en présence d'un opérateur
qui peut agir interactivement avec le programme. C'est ce qu'on appelle
également le temps réel "soft". Dans ce cas, les contraintes temps réels
sont subjectives et correspondent surtout à la patience de l'opérateur. Sous
cette angle, même Excel est un logiciel temps réel.

L'autre temps réel, le temps réel "dur", est celui dont on parle
généralement en logiciels embarqués. Les contraintes de temps sont alors
définies à l'avance, et le programme doît s'exécuter en tenant compte de ces
contraintes en toutes circonstances. Un exemple de ce type de logiciels
serait un calculateur d'ABS, qui ne doit pas invoquer les conditions météos
ou la défaillance d'un capteur pour freiner après l'obstacle.

A+
CPHIL

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