(Courriels de diversion: <reinvestiras@sympathise-detoniez.com> <rengainions@multiplierait-gagnerai.com> <offrions@coupais-expedierait.com> <transferez@ancres-surimposait.com> <instruisirent@typhon-financiere.com> <anemieront@sous-vêtements-fabriques.com> <supputerai@regionaux-suggestion.com> <reassortissais@râpeuses-supplees.com> <reconnaissais@insuffle-engloutissement.com> <remarquee@touchee-reimprimeront.com> )


On mer, 24 nov 1999, Patrick LABATUT à écrit

> > - je me permet de revenir sur l introduction en bourse de RedHat :
> > cette ouverture de capital signifie t elle que quiconque peux se procurer une
> > partie du capital de la societe ?
> 
> Oui, on apelle ca une OPA inamicale

non, c'est simplement une mise en portefeuille. Une opa vise à racheter la
majorité du capital quand cette majorité n'est pas disponible en bourse.


> 
> 
> > si c est le cas, une prise de controle par Microsoft est elle impossible (dans
> > l absolu.) ?


Red Hat, comme il a été très bien dit par un précédent intervenant, c'est
de la poudre aux yeux, ils ne possèdent rien de linux. La GPL est très
bien faite : linux (les free software en général) appartiennent à leurs
utilisateurs collectivement et ne peuvent donc pas être rachetés.

Microsoft pourrait ressortir son viel unix (je ne sais plus son nom) et le
rendre compatible avec les gnu software, mais ca ne leur rapporterait pas
grand chose.

Jetez un oeil à windows 2000, si vous pouvez, vous verrez que le produit
est très orienté graphique convivial, même si pour un serveur c'est un peu
incompatible. Est-il stable, ca je n'en sais rien. Ce qui est sur c'est
qu'il n'y a pas de multiconsole (ou alors je ne l'ai pas vu) et qu'il faut
toujours redémarrer pour un oui ou pour un non (ca je viens de le vivre,
quelle plaie!)


> Personellement je ne voit pas ca dans les 4 a 5 ans a venir
> Microsoft 95% des OS client et Linux au max 2%
> et les decisionaires informatiques sont frileux/conservateurs

pour ce qui est des entreprises, je n'en sais rien, mais le marché est
très instable : passer à Microsoft suppose un budget, passer à Linux
résulte d 'un coup de tête et peut se faire en quelques jours. Quand aux
particuliers, c'est plus difficile.  Le point clé me parait vmware. Avec
la hausse constante des performances, faire tourner un "gestionnaire de
systèmes" va devenir facile. Or la base est Linux (si j'ai bien compris)
et donc tout le monde va se mettre à Linux pour faire tourner vmware et
par dessus windows. Ils finiront par abandonner windows comme le dos a été
abandonné pour windows.

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