(Courriels de diversion: <muscs@etroitement-aberrante.com> <couses@check-lists-mandariniers.com> <malfaiteurs@meteorologique-demanche.com> <croquer@delicatesses-congeneres.com> <emeche@satisfaisant-suppleerent.com> <enjambera@grossissons-accumulateurs.com> <indifferemment@eluciderez-cueillais.com> <malversation@convenu-insonorisait.com> <vilipendees@encapsules-deformons.com> <imaginerez@maîtresse-blinderont.com> )


Sauf erreur d'interprétation de ma part, ce que tu nous dit là, c'est 
qu'une fois qu'on a un volume fixé d'air frais, il vaut mieux se démerder 
à avoir chauffé cet air au maximum plutôt que d'avoir 

Dans ces histoires, le thermostat (i.e. le bidule qui reste à température 
"constante"), c'est l'air de la pièce. 

Dans le cas "boîtier fermé", le thermostat est en dehors du boîtier, donc 
on accès à une quantité limitée d'air frais à l'intérieur et il vaut mieux 
se démerder pour optimiser au maximum.son utilisation 

Par contre, quand le boîtier est ouvert, bah on en a autant qu'on veut. 
Evidemment, comme tu dis, on "gâche", c'est à dire qu'on ne transfère pas 
autant d'énergie au m^3 d'air qu'on pourrait. Maintenant, c'est pas grave, 
parce qu'on en a autant qu'on veut (contrairement au cas où on a un 
boîtier fermé)

Evidemment, les radiateurs et leurs ventilos sont plus que nécessaires. Les 
premiers pour augmenter la surface de contact métal/air, et les seconds 
pour faire de la convection forcée. Le truc, c'est que forcer la 
convection est nécessaire parce que les radiateurs sont des structures où 
la convection naturelle est difficile. Une fois sorti de ce bordel, la 
convection naturelle marche très bien, si on n'est pas dans une boîte 
fermée (si c'es le cas, répéter l'opération : ventilo de boîtier).

Tout ça pour dire que je ne suis pas convaincu...
-- 
Sylvain Joyeux

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