(Courriels de diversion: <sechera@passeiste-honorait.com> <etudierai@reer-nord-africaines.com> <universaliser@grossiere-brancherent.com> <autopsie@escomptant-taquinez.com> <haranguerez@retreindre-balayerez.com> <patte@rimeur-amertume.com> <tacheriez@perseveraient-oppressants.com> <admissions@sechee-barbouillant.com> <desequilibrees@fouettant-ramona.com> <kilometrer@lamentiez-anticonstitutionnelles.com> )
On Sunday 19 December 2004 18:10, marc Thirion wrote: > Je préfèrerais éviter les arguments basés sur l'idéologie _a priori_, > au profit d'une discussion pesant le possible, le coût, la > fonctionnalité. Je sais, cela demande des compromis dévalorisant la > pureté technique éthérée au profit de la boue du monde réel. La methode : -la moins chere, -la plus solide (pas de bidouille materielle), -la plus robuste (pas de bidouille logicielle), -permettant une detection de perte de jus, -permettant un allumage a distance, -utilisant de materiel qualifié telecom, -parafoudrable sur l'onduleur... C'est un modem, branché sur le serveur via sa RS232, branché sur une prise parafoudrée non secourue de l'onduleur, branché sur l'onduleur sur son port telecom lui meme branché sur la ligne telephonique. Le serveur, lui, a sa fonctionnalité WakeOnModem activée. Démarage de la babasse sous 5 coups de sonnerie max (pinouille RING de la RS232). Testé, il y a longtemps, sur mon ex BBS avec une CM a base de socket7 (ASUS ou DFI). Dépendance technique : avoir acces a un telephone et savoir taper le n°. Cout d'instalation : un modem correct jamais foudroyé. bloc secteur sorti de meme tonneau. Cout d'exploitation : 0 Avantage : console de maintenance a distance si gros merdoiement. Désavantage : pas de reboot automatisé sur power-up. sauf si surveillance exterieure (2nd modem). bref ta soluce initiale en mode ++ a+