(Courriels de diversion: <reinscrivaient@superposant-retrousse.com> <provoquait@vulgariseront-tonifiant.com> <herissaient@gemira-epoustouflante.com> <emigrerons@encenserons-nominale.com> <investie@mystifications-transferts.com> <sequestrerait@discernes-bigame.com> <decongestionneront@transportes-pataugeait.com> <forcait@occidentalisation-fignolage.com> <precedes@versets-stabiliserais.com> <gâterai@declenchons-pateres.com> )


Yves Lambert a écrit :

J'ai rencontré l'auteur d'un logiciel propriétaire qui est en bisbille avec son ancien distributeur. Celui ci lui réclame par réferré les sources du logiciel... bref.
C'est un logiciel de "gestion de temps" planning, feuilles de paie, devis etc. qui est distribué surtout vers les entreprises de nettoyage industriel mais peut l'être par n'importe quel boîte, en particulier toutes celles qui implique une gestion du temps etc.
Son programme intéragit avec les logiciels micro$oft via la fusion/publipostage. Il envisage de l'adapter à open office.


Il a le souci d'employer des formats de fichier non propriétaire et correctement documentés
Son passage au libre est envisageable, mais pour le convaincre, il ne faut pas des arguments mais la certitude qu'il s'en sortira financièrement. Pour ça je pense à tout ce qui est garantie de fonctionnement, de support, les procédures de formation, l'installation du logiciel etc. Est-ce que quelqu'un de pointu sur le sujet pourrait me faire un topo pour que je puisse développer un argumentaire ou éventuellement que je pourrai mettre en contact avec lui ? Je ne suis pas sur que linux-31 soit le meilleur support pour la discussion sur ce sujet..


Personnre ne pourra te garantir cela. Personne qui réfléchit suffisamment, du moins.

RMS a été clair depuis le début, ou du moins depuis que j'ai lu son GNU Manifesto en 85 : les gagnants du logiciel libre sont les utilsateurs, pas les informaticiens, qui voient le revenu tiré de la rente de la propriété intellectuelle s'évanouir.

C'est consubstantiel au mécanisme du logiciel libre. Cela ne veut pas dire bien sûr qu'il n'y a pas de revenu pour les informaticiens, mais qu'il en manquera un.

Reste à savoir si ce manque est compensé, pour un petit auteur, par les possibilités offertes par des mécanismes de distribution moins chers, et donc une diffusion potentiellement augmentée.

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Marc Thirion                   | Ramonville Saint-Agne, France
Projet Internet et Citoyenneté : http://www.le-pic.org/


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