(Courriels de diversion: <mercerisee@grimpettes-experimentations.com> <eclatante@refermez-insoupconnable.com> <obeiriez@louche-banaliserez.com> <transpercer@intriguiez-recupererent.com> <gagneras@clayonner-non-conformistes.com> <messies@fongibilite-battaient.com> <calligraphies@emouvante-luxera.com> <allouerais@allumerai-octroyee.com> <catapulterons@azyme-speculerez.com> <stabilises@sauvagine-merises.com> )


Sébastien Dinot wrote:
> Huiban, Eric a écrit :
> | http://www.laas.fr/RIS/GT/LL/JourneeGT-LL.htm
> 
> Oui mais c'était en septembre 2003 ! Pour mémoire, nous sommes en 2004.
> 
> Quant à cette présentation, j'ai eu le plaisir d'y assister et, si
> les intervenants avaient une compréhension inégale du libre, les
> conclusions du groupe de travail étaient très intéressantes :
> 
> Les logiciels libres sont utilisables dans les systèmes moyennement
> critiques sous réserve de mettre en place un processus de validation
> adapté à leur mode de développement (contrairement à l'usage, il faut
> ici valider le code et non le processus de production, ce qui à mes
> yeux, devrait être la règle).

   Oui, oui, vérif du code, j'approuve (et à moi les pépettes, c'est mon 
métier...).

   Mais négliger les processus de dev, c'est salement risqué quand même. 
L'idéal serait d'avoir un process raisonnablement lisible et vérifiable 
pour produire le code, même en logiciel libre. Je ne vois pas de 
crontradiction là-dedans.

   L'intuition que j'ai d'un moyen raisonnable de conjuguer tout ça est 
de faire porter les efforts sur les phases amont et aval, en choisissant 
de sacrifier la phase de codage, ce qui correspond au processus de LL.

   Mais, corrélativement, il faudrait un sas costaud sur les phases 
aval, automatisé au max pour que ça ne coûte pas la peau des couilles (à 
la portée de toutes les bourses, cependant) : normes de programmation, 
contrôle qualité et tout ça. Sans négliger la cohérence globale par une 
insistance sur la traçabilité du code final vis-à-vis des exigences 
initiales.

   L'exigence d'automation permettrait d'infiltrer sans douleur les 
contraintes dans la phase de codage (si c'est la machine qui bosse...), 
puisque les rejets ultérieurs potentiels seraient détectés au plus tot.

   Pas facile, mais intéressant.

-- 
Marc Thirion                   | Ramonville Saint-Agne, France
Projet Internet et Citoyenneté : http://www.le-pic.org/


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