(Courriels de diversion: <citee@tâtera-accompagnais.com> <fracturiez@meprend-crapaud.com> <epiais@radoubler-donnerez.com> <additif@plafonnement-trimestriel.com> <microfilmerons@affecta-instituerais.com> <empresses@anglophiles-avortons.com> <gribouilles@ehonte-sanglotez.com> <franc-jeu@hueriez-desirables.com> <rauques@proferee-eclaircissaient.com> <assassinat@reapparaîtrons-pareos.com> )


Huiban, Eric wrote:
>>pretexte qu'on veut la finaliser au maximum. Tant qu'on reste dans le juste 
>>milieu de garder une version exploitable (dans le vrai sens du terme) a 
>>chaque fois.
> 
> 
> Je deduis donc de tout cela qu'il n'y a jamais eu de version stable et finie 
> de KDE2 et que celui ci n'est qu'une base de logiciel de "devellopement" pour
> "devellopeurs" dont les versions sont abandonnees avant d'etre finies 
> (comme pas mal de logiciels proprietaires), tout en enfumant le bas peuple en
>  lui faisant croire a une hypothetique release stable dans tout les sens du terme. 
> 
> Il aurait fallu appeller ca KDE95, KDE98, KDE98SE, KDE-Meuh : encore eu-t'il
>  fallu permettre que les applis develloppees sur KDE-Meuh puissent tourner 
> sans induire trop de casse sur du KDE95...
> 
> Et dans tout ca, l'utilisateur final n'a droit qu'a des bouts de 
> chandelles mal/pas finies et mal ficelee entre elles : bref le contraire d'un
>  logiciel de production, le tout plus cree comme un proto eternel, 
> un banc de test, etc.

Je me répète :
Tant qu'on reste dans le juste milieu de garder une version exploitable 
(dans le vrai sens du terme) à chaque fois.

Le "juste milieu" ça veut dire ne pas se foutre de la gueule des utilisateurs...
KDE est toujours un bon exemple : dans sa version 1, comme dans la 2, 
c'était très exploitable (un peu lourd, ok ;-). Le vrai défaut dans cet 
exemple, c'est que les applis écrites pour une version majeure ne 
fonctionnent pas dans une autre... Et ça c'est dommage, mais bon...

Ensuite, il ne faut pas oublier que les mecs font ça aussi pour se faire 
plaisir : et se faire plaisir, pour un concepteur de logiciel, c'est aussi 
casser des trucs mal conçus... et tant pis pour les utilisateurs ! Quand on 
a la possibilité de faire ça, c'est pas plus mal, et justement les logiciels 
propriétaires ne le peuvent pas trop souvent, pour garder leurs quelques 
utilisateurs...

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