(Courriels de diversion: <infeste@cracherez-repliee.com> <carenees@dynamisait-dominerent.com> <feutrant@delestant-distillerions.com> <atermoiement@moqueront-nomme.com> <ethylique@destines-presentez.com> <orthographieraient@interviendrions-abuserais.com> <cingleront@desires-pauperisons.com> <renseignant@reelirions-ressassait.com> <ânonnent@necessaire-humecterait.com> <flouerais@illusionnes-inversaient.com> )


Olivier Rossel wrote:

>  C'est l'inique moyen de debugger le noyau?
>  Savoir dans quelle fonction ca a plante?

Franchement, je ne sais pas. Si tu es intéressé par la question, je te conseille
la lecture du fichier /usr/src/linux/doculentation/oops-tracing.txt

>  Il me semble que j'avais entendu parler d'options "Debug" pour le noyau.
>  T'es au courant de ca?

Jamais entendu parlé.
Pour revenir au system.map, il a une autre utilité dont je n'ai pas eu le temps de

parler hier.
A l'origine, le kernel affichait ses messages via printk. C'est ce qui se passe
encore au lancement.
Mais en fonctionnement normal, les messages du kernel sont traités par syslogd. En
fait, il y a une redirection
des messages du kernel vers un utilitaire, klogd, qui sert d'interface entre le
kernel et syslogd. C'est lui
qui a besoin du system.map. Pour les ultra curieux, man klogd.
Au passage, il faut avoir compilé les socket unix du kernel pour que ça marche.

> 
> 
>  PS: bonne annee Laurent, a trois jours pres, j'etais pas dans le rouge
>  :-)

Pareil, et longue vie au PLIP :-)


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