(Courriels de diversion: <braques@ereinterait-devaluerez.com> <depossederiez@redirections-interposees.com> <identite@voltigeaient-nurse.com> <parsemes@applicateur-vaquais.com> <encherissait@aspirions-feuillete.com> <enlaceraient@populations-concomitant.com> <desabonnons@reclassee-trompiez.com> <enchaînerons@maisons-saupiquet.com> <commuera@deuxieme-resolviez.com> <terrassent@decevriez-dechiffrait.com> )
Ale>< a écrit: > Avec la RedHat 5.2, c'est tres facile : [...] > Les fichiers de config inclus dans le RPM font que le DNS se comporte par > defaut comme un cache. Par contre, je ne sais pas comment on le configure pour > qu'il transmette les requetes qu'il ne sait pas satisfaire au DNS du FAI au > lieu de les envoyer de par le monde. Je crois qu'il y a une ligne `forwarders' > a mettre dans l'/etc/named.conf, mais je n'ai pas la doc sous les yeux. Enfin, > si vous avez plusieurs machines en reseau local, le DNS-HOWTO decrit pas a pas > la methode de creation d'un domaine prive. Quitte à donner quelques références de doc, je vous propose de faire un saut sur [1], histoire de trouver des documents fort bien faits sur la mise en place d'un DNS. Pour ma part, j'ai un peu tripoté les fichiers de config, et ça a l'air de marcher, mais il y a fréquemment des messages de type: daemon.log:Dec 15 10:55:06 barlu named[170]: Cleaned cache of 0 RRs daemon.log:Dec 15 10:55:06 barlu named[170]: USAGE 913715706 913218896 CPU=4.55u/2.01s CHILDCPU=0u/0s daemon.log:Dec 15 10:55:06 barlu named[170]: NSTATS 913715706 913218896 A=18233 PTR=260 MX=17 daemon.log:Dec 15 10:55:06 barlu named[170]: XSTATS 913715706 913218896 RR=130 RNXD=26 RFwdR=116 RDupR=5 RFail=2 RFErr=0 RErr=0 RAXFR=0 RLame=0 ROpts=0 SSysQ=5 SAns=356 SFwdQ=4398 SDupQ=21555 SErr=0 RQ=18510 RIQ=0 RFwdQ=4398 RDupQ=13758 RTCP=0 SFwdR=116 SFail=0 SFErr=0 SNaAns=352 SNXD=4 qui circulent. Bon, en fait, c'est normal, le named local doit mettre à jour son cache. La question qui me chagrine est la suivante: est-ce-que l'overherad total lié à la mise à jour n'est pas plus ou moins équivalent à celui d'une consultation du DNS distant dans le cadre d'une machine connectée en PPP ? C'est certain que si on privilègie le temps de réaction, il est préférable de cacher la résolution de nom en local, mais bon, heuuuu, et si la facture totale était plus chère, finalement ? Autre remarque: si la mise en place d'un cache named sur un poste de travail est plus intéréssante pour le PPP, le problème est le même dans un réseau local : au boulot, la majorité des PC linux ont un named qui tourne, dans le but très sain de se protéger d'une éventuelle panne du mastard serveur DNS ( hé oui, les sun, ça tombe en panne, aussi ). [1] http://www.isc.org/bind.html -- Yannick, a.k.a. « je sais, chuis encore en train de torturer les drosophiles » _______________________________________________________________________ Le CULTe sur le ouebe: http://savage.iut-blagnac.fr/