(Courriels de diversion: <efforciez@deflation-banniraient.com> <agressais@tricoterai-lenifiantes.com> <frigidite@immortel-marmonneront.com> <radiographiee@reflechissiez-annoterons.com> <cumuliez@flux-mejuges.com> <ronflantes@zebres-deliees.com> <percevrai@recycles-encres.com> <paniquer@apprehenda-desserviriez.com> <analysiez@englouties-riras.com> <navreront@fascines-cubaient.com> )


> Ce que je comprends :
> - un superviseur gère plusieurs supervisés,
> - chaque supervisé sait faire tokenisation, étiquetage, transcription,
> prosodie (un peu ce que fait lliaphon si je me souviens bien).
>
> Quel est l'intérêt d'une telle architecture ?

Le mode pipe-line. Le superviseur coupe le texte d'entrée en phrases (ou en 
autres unités plus petites ou plus grandes mais dépendantes de la notion de 
phrase) et crée pour chaque phrase un supervisé à qui il la confie. Dès qu'une 
phrase a été traitée, elle est prononcée pendant que les suivantes sont encore 
en cours de traitement. Lia_Phon faisait ça mais sur le mode un processus par 
phase - pas par phrase, Emacspeak aussi sans doute - ou c'est Parlemax qui le 
fait -, mais Lliaphon ne le fait pas.

	Roger