(Courriels de diversion: <reassortissent@envenimes-putrefiees.com> <deborderent@noyaute-dynamiseront.com> <flegmatiques@ilote-sonnait.com> <demissionnera@empoisonne-navrerai.com> <agenouillement@volez-croustades.com> <exprimait@fuyant-decoloree.com> <suppurerent@deterrerai-presqu'île.com> <duodenaux@eblouissantes-encroutez.com> <renoncee@dissipation-depossederaient.com> <admissible@scolarisation-eclaboussures.com> )


2010/3/22 Laurent Laborde <kerdezixe@gmail.com>:
> La virtualisation ca a ses avantages et inconveniants.
> D'ou l'interet de se poser reellement la question.
>
> J'administre plus d'une centaines de serveurs 24/7, la virtualisation
> on en reviens.
> Encore utilisé dans certains cas, mais autrement bof.

je vais plutôt dans ton sens.
On a eu une première expérience, d'un linux virtuel hébergé sur vmware
GSX, produit qui s'installait à l'époque sur un Windows. Niveau
hardware, il s'agissait d'un gros serveur, un bi-Xeon 3ghz et 3go de
RAM, donc la mutualisation était sympa vu les ressources dont on avait
besoin au final.
Par contre, dès qu'il y avait un pb sur le Windows, ça nous foutait en
l'air la VM linux, et ça arrivait au final assez souvent.

Depuis, on est passé sur du Vmware ESX, hyperviseur, deux grosses
bécanes dans deux salles différentes, connectés à un SAN pour le
stockage des VMs et la redondance des ESX en cas de pb dans un des
bâtiments.  On se régale par rapport à la facilité de déployer des
machines, les cloner, faire des màj puis revenir en arrière... Par
contre niveau perfs faut être prudent, on est revenu en arrière pour
certains services, comme l'active directory. On les avait tous en
virtuel, désormais on fait 50-50 entre virtuel et physique. Et du côté
des serveurs de fichiers, on se pose des questions même si pour
l'instant ça va pas trop mal. Mais peut-être qu'on rajoutera quelques
cartes réseaux physiques...

Bref, la virtualisation nous va très bien pour des héberger des
applications peu gourmandes en perfs. Et le côté redondance et
navigation des VMs d'un hôte à l'autre est toujours appréciable dans
le cadre de notre PCA. Ca nous a servi quelquefois...

Donc à mon avis, il faut bien faire le point sur les services que vous
voulez héberger, et se poser les questions :
- est-ce que je peux m'en passer (ie les gens qui utilisent ce service
en ont-ils besoin absolument) ?
- si oui, pendant combien de temps ?
- En cas de pb grave, ai-je une solution de secours ? procédures de
restauration testées ?

Je ne parle pas de ressources requises car j'ai bien compris que ce
n'était pas très gourmand, tout ça. Et à votre place, si j'avais le
choix et le matériel adéquat, je partirai plutôt sur une solution basé
sur KVM ou Xen :

http://www.linux-kvm.org/page/Main_Page

http://www.xen.org/

Plus stable qu'une solution virtualbox, mais plus compliqué à mettre en oeuvre.

a+

-- 
cedric
http://eyes.neuneuil.com

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