(Courriels de diversion: <fiscales@congeles-limogent.com> <pretexte@jugulerions-decolores.com> <reluira@muselerent-empireront.com> <nucleaires@calculettes-susnomme.com> <skiait@resultant-insinuants.com> <repartiras@pacifions-vexons.com> <gercee@deboucheront-contresignerons.com> <exprimables@etranglements-vengerez.com> <glaiseux@affrontait-grefferions.com> <meugla@impures-herissais.com> )


> > > > >  "jdd" == jdd  <jdanield@club-internet.fr> writes:
  jdd> je ne sais pas si un user (dans le cas envisagé au début du
  jdd> thread) peut lancer plusieurs bash, auquel cas le problème
  jdd> n'est pas résolu. les limites sont elles liées à un
  jdd> utilisateur, une session? que se passe-t-il si la mémoire est
  jdd> dépassée du fait d'un grand nombre de connections simultanées?

l'appel système setrlimit(), sur lequel s'appuie sur les shells pour
implémenter des commandes tq ulimit (ou limit avec tcsh), permet de
fixer des contraintes uniquement pour le processus courant, et
éventuellement ses fils.

Des bidouilles avec ulimit ne seraient pas efficaces pour limiter les
ressources utilisables par un utilisateur, puisqu'il lui suffit de se
reloguer pour avoir un nouveau shell. Si on voulait être strict il
faudrait remplacer le shell de l'utilisateur par un programme qui
vérifie la consommation en ressources actuelle de l'utilisateur, 
fait des setrlimit() quivonbien, puis qui lance le shell.

Il y a peu d'OS qui protègent les utilisateurs de du DoS local.

-- 
Eric Marsden

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